Lundi 27 août 2007 à 23:37

Il y a des soirs où on se sent bien. Et ce bonheur est contagieux. Parce que c'est tellement mieux d'écrire quand on est heureux ! Même si rares sont les personnes qui passent ici à mon avis ce blog me sert d'exutoire. Il y a des soirs où on voudrait que le temps s'arrête. Comme ce soir. Rien de spécial pourtant. Un petit coup de fil. Savoir qu'une amitié est en train de naître. Savoir que l'on est pas seule comme on le prétend. Savoir que quelqu'un pense à soi. Savoir... Et sourire dans le noir. A l'avenir. A toutes ces choses que l'on va pouvoir réaliser dans sa vie. Parce dans des moments comme celui-ci, on se projette. On rêve et tant mieux. C'est ce qui fait avancer les rêves non ? Enfin bref.

La vie est belle.

Lundi 30 juillet 2007 à 0:32

Je crois que le bonheur s'est enfin décidé à frapper à ma porte...

- La suite au prochain épisode -

Mercredi 11 juillet 2007 à 23:08

_Pfiouf. ça faisait longtemps que je n'étais pas venue ici. Au moins ils supprimeront pas mon blog ces sal**ds. Dans ma tête ça fait biip biip. Je me rend compte que je l'aime. Un peu. Beaucoup. Ou peut-être à la folie ça je ne sais pas. Mais je crois que si je ne veux pas de Lui² c'est parce que c'est Lui* le propriétaire de la clef de mon coeur. Sans le savoir bien sûr. Peut-être que j'ai peur. Peur d'aimer. Je fais un blocage. Peur d'être déçue. Peur de donner sans rien avoir en retour. Peur d'avoir mal. Comme j'ai eu mal. Peur d'avoir peur aussi. J'écris ici parce que c'est plus sûr que le cahier. Maman ne viendra jamais jusqu'ici. Papa non plus d'ailleurs. Dans me tête ça fait biip biip. ça c'est la déformation professionnelle. Maintenant dès que je vois un melon je dis 494. Va savoir pourquoi. Peut-être parce que je reste 5h par jour derrière une caisse à sourire à des vieilles aigries en entendant des biip biip stridents. Ma tête a compris la leçon alors elle fait aussi biip biip. Et mon problème avec l'amour. Un énorme problème. Je me sens étouffée, surveillée, épiée. J'ai peur de mal faire, peur d'être jugée. Je ne veux pas servir d'amourette d'été. Je veux être une grande histoire d'amour à moi toute seule. Une histoire indélébile que même le temps ne peut effacer. Une histoire qui masque toutes les autres. Je ne veux pas être la roue de secours. Je voudrais pouvoir craquer. Me laisser aller. Tout simplement écouter mon coeur. Me dire que plus tard je mettrais ça sur le compte de la jeunesse. Mais je dois avoir un cerveau d'adulte qui me fait la morale. Résultat je ne cèderais pas. Je fais semblant de ne pas vouloir sortir. Semblant d'oublier. Semblant de ne pas voir. Parce que je sais que je pourrais craquer. Mais je ne craquerais pas. "Ne fais pas aux autres ce que tu ne veux pas qu'on te fasse". Donc je ne le ferais pas. A moins qu'il y ait changement. Point.

A la ligne.

Vendredi 22 juin 2007 à 16:41

. Un mot et un seul : VACANCES .

Dimanche 22 avril 2007 à 0:19

J'en suis encore toute bouleversée. C'est pourtant la deuzième fois que je le vois. Mais ça ne change rien. Toujours cette bulle autour de moi qui ne veut pas me laisser voir la réalité. Je vis dans mon monde. Ou plutôt dans son monde à elle. Dans ce film à lui. Dans la peau de ces acteurs, de ces répliques. Je crois que je suis amoureuse de ce film. J'étais déjà amoureuse du livre, mais là, ça dépasse les sommets. Cette histoire est tellement vraie. Pas de superflu. Pas de paillettes. C'est la vie. La vrai. Avec un prince charmant bougon et canon. Un vrai prince, qui a un vrai métier, qui est pas riche héritier avec un diamant à chaque doigt. Un prince qui est humain, un en chair et en os et pas en porcelaine comme dans ces films à l'eau de rose. Avec une jolie princesse non pas dans un lit à baldaquin mais dans une mini pièce qui lui sert d'appart'. Une princesse tout frêle, une princesse qui a peur de la vie et surtout de l'amour. Ils se sont bien trouvés ces deux là. si je pouvais rencontrer mon mien comme ça. je serais comblée. je suis dans un tourbillon entêtant. Je peux plus m'en passer. Je le reverrais jusqu'à plus soif, encore et encore et je pleurerais encore et toujours aux mêmes moments. Je m'en impregnerais pour mieux supporter la réalité. je l'aime ce film, je l'aime ce livre. cette auteure est décidément merveilleuse et ce réalisateur fantastique. je leur tire mon chapeau. ce texte est juste un défouloir. parce que je ne peux pas tout garder, il faut que j'extériorise ce que je ressens, c'est trop fort. les mots viennent comme ça, mais de toute façon, on s'en fout que ce soit mal écrit puisque personne ne lira.

- ENSEMBLE, C'EST TOUT -

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